Dialogue inter-religieux
Le Service diocésain de relation avec le judaïsme
Le Service diocésain de relation avec le judaïsme a été créé en 2015 à la demande de Mgr Aillet. Son responsable est M. Jean Kalman.
Le Service a un double objectif :
* Relations avec les communautés juives de Pau et Bayonne (repas avec Mgr Aillet, vœux, soutien mutuel lors d’événements sanglants, explications...)
* Formation des fidèles du diocèse
Conférences (Danielle Guerrier, Rabbin Dalsace, Frère Jean-Marc Pasquier...) – projet de soirée biblique à plusieurs voix (en lien avec la Formation permanente).
Ateliers textes de la liturgie dominicale...
Groupe de lecture ‘A l’écoute du judaïsme’
Lien : - avec d’autres groupes locaux (sœurs de Sion – groupes AJC - groupe inter-religieux franciscain – Belloc – amitié islamo(-judéo)-chrétienne...)
- avec le service national pour les relations avec le judaïsme
Constitution d’une petite équipe accompagnée par l’abbé François Biès-Péré qui rencontre régulièrement Mgr Aillet.
contact : rel.judaisme@diocese64.org
Proposition d’intention de prière universelle.
En cette période des fêtes juives d’automne, prions pour nos frères aînés dans la foi.
Pour qu’ensemble, juifs et chrétiens, nous prenions davantage conscience de notre patrimoine spirituel commun.
Pour que nous sachions le faire fructifier, au service de la paix, pour tous nos frères en humanité, prions le Seigneur.
Sens de chacune des fêtes d’automne
Nouvel An Juif (Roch Hachana ; 3-4 octobre 2016) :
Littéralement « tête de l’année », cette fête commémore la création de l’homme par Dieu pour être son partenaire, responsable de l’achèvement de la création.
Elle ouvre un temps d’examen de sa vie sous tous ses aspects, pendant l’année
écoulée, invitant à une conversion. Elle est marquée par la sonnerie du Chofar
(corne de bélier).
Grand Pardon (Yom Kippour ; 12 octobre 2016) :
C’est le jour le plus saint et le plus solennel du calendrier juif caractérisé par 25 heures de jeûne et de prières et scandé par cinq offices à la synagogue. Ce jour permet à l’homme d’obtenir le pardon de ses péchés contre Dieu, le pardon de ses péchés contre son prochain ayant été demandé auparavant aux frères offensés.